En première année, ils sont confrontés :
- à l’anonymat de l’enseignement à la Faculté : la relation personnalisée entre enseignants et enseignés disparaît ;
- à un changement radical de l’organisation de leur travail lié au rythme universitaire très soutenu ;
- à un enseignement très diversifié, concernant une multitude de disciplines. Des livres et polycopiés correspondants aux cours donnés n’existent que très rarement car le contenu des programmes est défini par les professeurs eux-mêmes qui peuvent le modifier d’une année sur l’autre ;
- à un changement complet du contrôle des connaissances. L’enseignement dispensé à la Faculté ne permet pas aux étudiants de s’entraîner suffisamment et d’estimer leur niveau réel par rapport à celui exigé pour le concours car aucun contrôle des connaissances n’est effectué ;
- à la difficulté du concours de cette première année : la sélection est sévère (environ 15 à 20 admis sur 100 candidats en Médecine et 20 à 25 sur 100 candidats en Pharmacie selon les années).
Devant ces difficultés, il est bien sûr impératif de travailler très régulièrement, de manière soutenue et méthodique.
Il est également important de s’entourer d’une équipe spécialisée qui permette de s’entraîner avec une méthode de travail rationnelle et efficace.